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• L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui ! "L'ennemi, c'est comme le sexe. Faut tirer dessus de temps en temps pour avoir la paix." "Noël au scanner, Paques au cimetière" "Fait divers: Delgado, l'homme qui a commis plusieurs viols en région parisienne et qui porte le même nom qu'un coureur cycliste, a été condamné à 20 ans de réclusion et élu meilleur grimpeur de la région." "On n'a quand même pas pris la Bastille pour en faire un opéra. " "Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d'entraînement, on peut arriver à en faire des militaires." "Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d'entraînement, on peut arriver à en faire des militaires" "Pour lutter contre le mal de mer, sucez une noix de muscade (sans l'avaler, c'est toxique). Si vous n'avez pas de noix de muscade, allez-y en bicyclette." "Et puis nos coutumes divergent, et divergent c'est énorme." "Je suis un gaucher contrariant. C'est plus fort que moi. Il faut que j'emmerde les droitiers." "S'il n'y avait pas la science, combien d'entre nous pourraient profiter de leur cancer pendant plus de cinq ans ?" "Si c'est les meilleurs qui partent les premiers, que penser alors des éjaculateurs précoces ?" "Au paradis, on est assis à la droite de Dieu. C'est normal, c'est la place du mort" "Entre une mauvaise cuisinière et une empoisonneuse il n'y a qu'une différence d'intention" La haine aveugle n'est pas sourde. Le whisky est le cognac du con. Alea jacta est : ils sont bavards, à la gare de l'Est. Alea jacta ouest : à Montparnasse aussi. Ma femme est très portée sur le sexe. Malheureusement, ce n'est pas sur le mien. Les hémorragies cérébrales sont moins fréquentes chez les joueurs de football. Les cerveaux aussi ! L'héroïsme, c'est encore la meilleure façon de devenir célèbre quand on n'a pas de talent. La nostalgie, c'est comme les coups de soleil : ça fait pas mal pendant, ça fait mal le soir. Un livre n'est pas fait pour être lu mais seulement pour être vendu. Moi, j'ai pas de cancer, j'en n'aurai jamais, je suis contre. J'ai envie de suggérer une hypothèse, selon laquelle la faible participation des femmes sur la scène politique serait le simple mépris qu'elles en ont. La recherche a besoin d'argent dans deux domaines prioritaires : le cancer et les missiles antimissiles. Pour les missiles antimissiles, il y a les impôts. Pour le cancer, on fait la quête. On peut très bien vivre sans la moindre espèce de culture. Il en est du romantisme fiévreux comme de la moule pas fraîche : quand on en abuse, ça fait mal au coeur. • Est-il indispensable d'être cultivé quand il suffit de fermer sa gueule pour briller en société ? • De même qu'il ne peut pas vivre sans oxygène, l'homme ne peut pas vivre sans femme. • La femme est souvent pour l'homme un agréable compagnon de jeux. • Les deux tiers des enfants du monde meurent de faim, alors même que le troisième tiers crève de son excès de cholestérol. • Le temps nous presse sans trêve vers le trou final. • Existe-t-il au monde un privilège plus totalement exorbitant que la beauté ? • Un gentleman, c'est quelqu'un qui sait jouer de la cornemuse et qui n'en joue pas. • Ce n'est pas parce que je suis paranoïaque qu'ils ne sont pas tous après moi. • Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger. De même qu'il faut boire pour vivre et non pas vivre sans boire, sinon c'est dégueulasse. • Le succès commercial, le seul qui vaille. Les succès d'estime ne conduisent jamais leur bénéficiaire qu'aux épinards sans beurre. • Tout salaud qu'on soit, on n'est pas moins naïf et susceptible de déceptions • Le féminin de "directeur" est "la femme du directeur". • Le rire n'est jamais gratuit : l'homme donne à pleurer mais prête à rire. • Un psychotique, c'est quelqu'un qui croit dur comme fer que 2 et 2 font 5, et qui en est pleinement satisfait. • Un névrosé, c'est quelqu'un qui sait pertinemment que 2 et 2 font 4, et ça le rend malade ! • La détente : faut surtout pas appuyer dessus ! • J'essaie de ne pas vivre en contradiction avec les idées que je ne défends pas. • Observons un grec ancien : il est enveloppé dans un drap, il tient un parchemin et il apporte au monde la civilisation. • Les diplômes sont faits pour les gens qui n'ont pas de talent. Vous avez du talent ? Ne vous emmerdez pas à passer le bac. • Il était tellement obsédé qu'à la fin il sautait même des repas. • Les aspirations des pauvres ne sont pas très éloignées des réalités des riches. • Dépourvue d'âme, la femme est dans l'incapacité de s'élever vers Dieu. En revanche, elle est en général pourvue d'un escabeau qui lui permet de s'élever vers le plafond pour faire les carreaux. C'est tout ce qu'on lui demande. • Au Paradis, on est assis à la droite de Dieu : c'est normal, c'est la place du mort. • L'humour vient tout seul à l'homme comme les poils au pubis. • Dieu a dit : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même." D'abord, Dieu ou pas, j'ai horreur qu'on me tutoie... • Je ne suis pas pour la femme-objet, au contraire j'aime bien quand c'est moi qui ne bouge pas. • A l'instar du pou, le coiffeur est un parasite du cheveu. • Suicidez-vous jeune, vous profiterez de la mort. • Le savoir-vivre est la somme des interdits qui jalonnent la vie d'un être civilisé, c'est à dire coincé entre les règles du savoir-naître et celles du savoir-mourir. • Il n'y a que deux sortes de chauffeurs de taxis : ceux qui puent le tabac, et ceux qui vous empêchent de fumer. • L'ennemi se déguise parfois en géranium, mais on ne peut s'y tromper, car tandis que le géranium est à nos fenêtres, l'ennemi est à nos portes. • Pourquoi ce nom d'Académie Française ? C'est la question que tout le monde se pose sauf les académiciens français qui s'en foutent du moment qu'ils n'ont pas froid aux genoux... • Il faut rire de tout. C'est extrêmement important. C'est la seule humaine façon de friser la lucidité sans tomber dedans. • La femme est assez proche de l'homme, comme l'épagneul breton. A ce détail près qu'il ne manque à l'épagneul breton que la parole alors qu'il ne manque à la femme que de se taire. • Le "tendre penchant" peut se manifester à tout moment et en tout lieu, au bal, à la fête foraine, dans l'autobus, plus rarement au cours d'une mêlée ouverte dans le Tournoi des cinq nations. • L'intelligence, c'est le seul outil qui permet à l'homme de mesurer l'étendue de son malheur. • Et puis quoi, qu'importe la culture ? Quand il a écrit Hamlet, Molière avait-il lu Rostand ? Non. • Vous pouvez railler, mais n'oubliez jamais qu'un jour ou l'autre, c'est celui qui raille qui l'a dans le train. • L'élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : "Je pense, donc tu suis." • L'amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. A partir de quoi il m'apparaît urgent de me taire. • Pour lutter contre le mal de mer, sucez une noix de muscade (sans l'avaler, c'est toxique). Si vous n'avez pas de noix de muscade, allez-y en bicyclette. • Et puis nos coutumes divergent, et divergent c'est énorme. • Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d'entraînement, on peut arriver à en faire des militaires. • Il y a un seul cas où il est convenable d'aborder une femme laide. C'est pour lui demander si elle ne connaît pas l'adresse d'une jolie femme. • Torture : nom commun féminin, mais ce n'est pas de ma faute. • Bien plus que le costume trois pièces ou la pince à vélo, c'est la pratique de la torture qui permet de distinguer à coup sûr l'homme de la bête. • La caractéristique vestimentaire du con consiste en un besoin irrésistible de s'habiller comme tout le monde. • Je suis un gaucher contrariant. C'est plus fort que moi. Il faut que j'emmerde les droitiers. • Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question. • L'intelligence, c'est comme les parachutes, quand on n'en a pas, on s'écrase. • Sans pile, on perd la face. • L'accouchement est douloureux. Heureusement, la femme tient la main de l'homme. Ainsi, il souffre moins. • Si c'est les meilleurs qui partent les premiers, que penser alors des éjaculateurs précoces ? • Dicton : "Quéquette en juin, layette en mars". • Pour rester belle. Si vous avez les seins qui tombent, faîtes-vous refaire le nez, ça détourne l'attention. • Plus je connais les hommes, plus j'aime mon chien. Plus je connais les femmes, moins j'aime ma chienne. • L'homme de science le sait bien, lui, que seule la science, a pu, au fil des siècles, lui apporter l'horloge pointeuse et le parcmètre automatique sans lesquels il n'est pas de bonheur terrestre possible. • Testis unus, testis nullus : on ne va pas bien loin avec une seule couille. • Quadrumane : Qui a quatre mains. Exemple : le rossignol n'est pas quadrumane. • On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. • Toute la vie est une affaire de choix. Cela commence par : "la tétine ou le téton ?" Et cela s'achève par : "Le chêne ou le sapin ?" • Pour que votre voyage de noces soit un succès total sur le plan touristique, sentimental et sexuel, la première chose à faire est de partir seul. • Le voisin est un animal nuisible assez proche de l'homme. • S'il n'y avait pas la Science, combien d'entre nous pourraient profiter de leur cancer pendant plus de cinq ans ? • Quant à ces féroces soldats, je le dis, ce n'est pas pour cafter, mais y font rien qu'à mugir dans nos campagnes. • Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal. • Parole de coiffeur : il est interdit de descendre avant la raie. • Alunissage : Procédé technique consistant à déposer des imbéciles sur un rêve enfantin. • A part la droite, il n'y a rien au monde que je méprise autant que la gauche. • L'adulte ne croit pas au père Noël. Il vote. • La caractéristique principale d'un ami est sa capacité à vous décevoir. • On n'a quand même pas pris la Bastille pour en faire un opéra ! • On reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. • Les chevaux sont tous des ongulés. Mais ce n'est pas une raison pour les prendre pour des cons. • La culture, c'est comme l'amour. Il faut y aller à petits coups au début pour bien en jouir plus tard. • Entre une mauvaise cuisinière et une empoisonneuse il n'y a qu'une différence d'intention.