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• Je suis un monarchiste, la République n'est pas le régime qu'il faut à la France. • Soyons fermes, purs et fidèles ; au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n'ont pas cédé. • En notre temps, la seule querelle qui vaille est celle de l'homme. C'est l'homme qu'il s'agit de sauver, de faire vivre et de développer. • La politique, quand elle est un art et un service, non point une exploitation, c'est une action pour un idéal à travers des réalités. • Je suis un homme qui n'appartient à personne et qui appartient à tout le monde. • Tout peut, un jour, arriver, même qu'un acte conforme à l'honneur et à l'honnêteté apparaisse en fin de compte, comme un bon placement politique. • Le talent est un titre de responsabilité. • La France fut faite à coups d'épée. La fleur de lys, symbole d'unité nationale, n'est que l'image d'un javelot à trois lances. • On ne devrait plus accepter de responsabilités suprêmes au-delà de soixante ans. • Si les policiers n'étaient pas bêtes, ils ne seraient pas des policiers. • Au sommet des affaires on ne sauvegarde son temps et sa personne qu'en se tenant méthodiquement assez haut et assez loin. • Les hommes peuvent avoir des amis, pas les hommes d'Etat. • L'ambition individuelle est une passion enfantine. • On s'est aperçu qu'il n'y avait pas de montagnes entre l'Angleterre et la France ; il y a seulement un canal. • Les exigences d'un grand peuple sont à l'échelle de ses malheurs. • Le caractère, c'est d'abord de négliger d'être outragé ou abandonné par les siens. • Toujours le chef est seul en face du mauvais destin. • En général, les gens intelligents ne sont pas courageux et les gens courageux ne sont pas intelligents. • L'indépendance, c'est la clochardisation. • Les gaulois n'ont pas changé. Leurs chefs détestent obéir. Mais ils adorent discuter. • Rien ne rehausse l'autorité mieux que le silence, splendeur des forts et refuge des faibles. • A la base de notre civilisation, il y a la liberté de chacun dans sa pensée, ses croyances, ses opinions, son travail, ses loisirs. • L'épée est l'axe du monde et la grandeur ne se divise pas. • Il n'y a de réussite qu'à partir de la vérité. • Ne croyez-vous pas qu'à la guerre la plus grande franchise soit la plus grande habileté ? • La parole est au peuple. La parole du peuple, c'est la parole du souverain. • La politique et la stratégie de la guerre ne sont qu'une perpétuelle concurrence entre le bon sens et l'erreur. • La démocratie, c'est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave. • Il vaut mieux avoir une méthode mauvaise plutôt que de n'en avoir aucune. • Il faut à la force, pour tenir son rang, un certain caractère d'assurance. • Le succès de l'épreuve de la guerre, comme le bonheur dans la vie, n'existe que par comparaison. • L'action, ce sont les hommes au milieu des circonstances. • On ne fait rien de grand sans de grands hommes, et ceux-ci le sont pour l'avoir voulu. • Face aux grands périls, le salut n'est que dans la grandeur. • La vie n'est pas le travail : travailler sans cesse rend fou. • Si l'intelligence ne suffit point à l'action, il va de soi qu'elle y prend part. • La ruse doit être employée pour faire croire que l'on est où l'on est pas, que l'on veut ce qu'on ne veut pas. • Le difficile n'est pas de sortir de l'X mais de sortir de l'ordinaire. • Le désir du privilège et le goût de l'égalité, passions dominantes et contradictoires des Français de toute époque. • Recevoir un grand nombre de journalistes est un plaisir. Un petit nombre un ennui. Un seul d'entre eux : un supplice. • Le gouvernement n'a pas de propositions à faire, mais des ordres à donner. • L'avenir n'appartient pas aux hommes... • Je ne vais pas mal. Mais rassurez-vous, un jour, je ne manquerai pas de mourir. • Je parle. Il le faut bien. L'action met les ardeurs en oeuvre. Mais c'est la parole qui les suscite. • Dans ce monde d'aujourd'hui, on ne peut dissocier le sentiment et la politique. • Ce qu'il faut surtout pour la paix, c'est la compréhension des peuples. Les régimes, nous savons ce que c'est : des choses qui passent. Mais les peuples ne passent pas. • Face à l'événement, c'est à soi-même que recourt l'homme de caractère. • Prenez invariablement la position la plus élevée, c'est généralement la moins encombrée. • Le caractère, vertu des temps difficiles. • Délibérer est le fait de plusieurs. Agir est le fait d'un seul. • Les choses capitales qui ont été dites à l'humanité ont toujours été des choses simples. • La France ne peut être la France sans la grandeur. • La difficulté attire l'homme de caractère, car c'est en l'étreignant qu'il se réalise lui-même. • La véritable école du Commandement est la culture générale. • Quant au pouvoir, je ne saurais, en tout cas, quitter les choses avant qu'elles ne me quittent. • La gloire se donne seulement à ceux qui l'ont toujours rêvée. • La fin de l'espoir est le commencement de la mort. • La réforme oui, la chienlit non. Prenez de l'altitude, il y a moins de monde. Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche. Si les policiers n'étaient pas bêtes, ils ne seraient pas policiers. Et puis comment voulez-vous que les Français s'entendent dans un pays où il y a 270 sortes de fromages ? Quand tout va mal et que vous cherchez votre décision, regardez vers les sommets; il n'y a pas d'encombrements. Au début, vous savez, je crois que j'étais à peu près comme tout le monde. C'est à dire que je n'étais guère gaulliste ... Et puis petit à petit, en me regardant faire, je le suis devenu La gloire est une maîtresse capricieuse : elle exige tout et ne pardonne rien La diplomatie est l'art de faire durer indéfiniment les carreaux fêlés. On ne fait rien de grand sans de grands hommes. Et ceux-ci le sont pour l’avoir voulu. Comme un homme politique ne croit jamais ce qu'il dit, il est tout étonné quand il est cru sur parole Les armes, c'est un métier qui fait couler beaucoup de larmes.